vendredi 26 avril 2013

L’infidélité....... jusqu'ou?



Cette question qui fait débat de plus en plus quand on voit l’actualité et ben désormais la femme n'est plus cette femme fidèle et soumise que l'on a connu.....

Les féministes, les défenseurs des droits de la femme, ceux des hommes, les légalistes et j'en passe, chacun veut donner son avis et surtout veut rendre acceptable ou logique ce qui ne l'est pas!!!

Je ne suis ni féministe, ni défenseur de quelque cause que ce soit mais je vais quand même parler aussi!

Le fait qu'un homme ait des enfants illégitimes est devenu un sport olympique et rentre dans la " norme".

Les hommes doivent donc faire des bêtises sans se soucier du mal qu'ils font.

Nous les femmes, avons-nous l'os à la place du cœur? Quand les hommes emmènent des enfants, ne font-ils pas aussi honte et mal à leur épouse?

Je suis autant révoltée devant l'infidélité d'un homme que devant l'infidélité d'une femme!!! Parce que comme  le cœur c'est pas l'os, et autant l'homme a son orgueil et son amour propre autant la femme les a aussi... Alors pas de raison de prendre plus en pitié un homme trompé qu'une femme trompée.
Le fait que les femmes acceptent plus ou moins les infidélités des hommes réside dans le fait qu'elles sont plus sensibles et dans le fait qu'on chante tous les jours que "lorsqu'un homme trompe il ne part pas avec le cœur mais si la femme trompe c'est qu'il y a des sentiments et c'est dangereux etc..." (Pour ma part tromper c'est tromper, sentiments oh pas sentiments y'a eu pain dans lait donc pardon... le bruit!)

Personne (hommes/femmes) ne mérite que ses sentiments soient traînes dans la boue, son cœur brisé, par son conjoint.

Tout ce qui me dérange ce sont ces femmes qui disent "comme il m'a trompée je vais aussi le tromper", La génération IF YOU DO ME I'LL DO YOU!!! Huuumm ça me fait penser a cette chanson de Kilheur et Rikwane "Chéri tu me saoule" huummm ces légalistes en tout cas personne ne te force à rester, si ça fait trop mal tu as le droit de partir mais je trouve que son infidélité ne vaut pas autant que ta dignité. ça ne sert à rien que tu te souilles.

Pour ce qui est des enfants que les gens là vont faire dehors, les femmes ne sont pas obligées d'accepter, qui oblige qui?
C'est juste que comme pour les infidélités on nous bourre le crane avec "c'est normal pour un homme et pas pour une femme"... C'EST FAUXXXX!!! C'est parce que c'est l'homme que ça ne fait pas mal?! Mais bon , certains trouvent la force d'accepter, de dépasser l’ego démesuré des hommes...

Certains hommes sont tellement égoïstes qu’ils pensent que seule la femme doit pardonner tous les égarements de son mari. Inversement pour certaines femmes alors que rien n'y fait chacun se doit de pardonner * l’égarement*  de l'autre....... Tout comme l’arbre, qui a besoin de très bonne racines pour bien pousser, l’amour entre deux être à besoin d’une confiance prête à braver les épreuves c a d les joies les peines. L’amour-là qui fait pleurer même les plus durs et bien ça se mérite.

 Et vous chers lecteurs jusqu’à quel niveau pouvez vous supporter et accepter l’infidélité de votre conjoint?

Bien le regard.

mardi 23 avril 2013

Negocier avec un proche



Avez-vous remarqué comment certaines conversations ayant un objectif de négociation, de compromis ou d’entente mutuelle peuvent rapidement devenir pénibles voire franchement énervantes? J’ai assisté récemment à un épisode extraordinaire d’une négociation entre un couple très jeune au sujet d’une discorde *pour ne pas changer me direz vous*. Pour poser le contexte, c’est la fille qui demande à son copain un peu d'attention, d’être plus présent pour elle au quotidien.


BRASSER DU VENT
J’écoutais les arguments de l’un et de l’autre. Ceux-ci tournaient essentiellement autour d’éléments logistiques très factuels et pratico-pratiques tels que la distance entre les lieux d’habitation (“trooop loin” pour l’un, “à côté” pour l’autre), le temps de transport qui y est associé (“trooop long” pour l’un, “à deux minutes” pour l’autre), les moyens de transport à disposition (“c’est galèèère” pour l’un, “c’est facile” pour l’autre) et j’en passe.

Bref, à chaque argument béton de l’un était opposée une objection d’acier de l’autre. Et plus le stock de cartouches s’amenuisaient dans les argumentaires respectifs, plus la tension devenait palpable. La mayonnaise commençait à monter chez l’un comme chez l’autre. Le clash était imminent.


NIVEAUX DE COMMUNICATION
Lorsque nous sommes en pourparlers avec un interlocuteur, la tendance naturelle de chacun d’entre nous est d’écouter et de focaliser sur le contenu du discours. Quoi de plus normal à ça, après tout?

S’il y a des mots qui sortent de la bouche de cette personne en face de moi, c’est logique que mes oreilles captent les sons formulés, les transforment en mots et phrases et me fournissent ainsi le message qui m’est destiné. De toute façon, notre vis-à-vis fait de même. Il se peut aussi que nous soyons complètement disposés à nous écouter mutuellement avec attention et bienveillance et pourtant, nos réponses peuvent être inadaptées et la conversation peut se rigidifier à n’importe quel moment. Nous sommes ici au premier niveau de la relation: celui du contenu.

C’est quoi ce bordel, alors?

Sans compter toutes les interprétations inhérentes à une communication, tout ceci se fait de manière automatique. La grande majorité des personnes pense que ce qui sort de leur bouche est en provenance directe de leur tête. Si c’est vrai d’un point de vue anatomique car c’est bien une zone du cerveau qui produit le langage (Broca pour les intimes), d’un point de vue émotionnel c’est une toute autre histoire. En effet, les émotions et ressentis générés invariablement lors d’une conversation influencent quasi systématiquement le contenu de notre discours.

Nous sommes là au deuxième niveau de la relation: celui des émotions et sentiments.


ÉCLAIRE UN PEU PAR LA
Juste avant le point de non retour qui allait allumer la mèche de la poudrière sur laquelle la copine et son copain étaient assis, une troisième personne étant un peu au fait des pièges du langage et des aléas des relations humaines proposait aux deux interlocutrices de simplement prendre conscience de leurs ressentis et besoins associés à cet instant et de le partager entre eux. Il s’agissait alors de rendre explicite ce qui est de l’ordre de l’implicite, à savoir exprimer les “vraies” raisons du désir de l’un et de l’autre.


Après un petit moment de silence propice à une connexion à tout ce qui n’était alors pas conscient (émotions, ressentis, sentiments), la conversation reprit à un niveau nettement plus apaisé que la minute d’avant. Comme quoi, parler avec le cœur tranquillise les esprits.

D’une négociation poussive entraînant de fait un climat de conflit larvé ne demandant qu’à exploser, le fil de la conversation ne portait plus sur des éléments servant d’écran de fumée mais plutôt sur l’écoute et l’intérêt des besoins exprimés par chacun.

Ce qui fut très étonnant après cette mise à plat des besoins de chacun et du partage des émotions et ressentis, c’est la tournure qu’a pris la conversation.


Dès lors, la demoiselle et son monsieur parlaient à un niveau relationnel beaucoup plus apaisé car authentique. L’objectif n’était alors plus de convaincre l’autre à tout prix mais de faire en sorte que les besoins de chacun soient au moins pris en compte et au mieux satisfaits. La décision finale n’a peut-être pas encore été prise, mais les portes du changement se sont grandes ouvertes pour laisser circuler les infinis possibilités de solutions qui apparaîtront.

Qui vivra, verra.











mercredi 17 avril 2013

c'est koi l'amour?


Ah… l’amour… ce sentiment qui nous donne l’impression que tout est possible !!
Comme le chantaient si bien les Beatles : « All You Need Is Love » !
Et je pense sincèrement que c’est ce qui fait tourner le monde. Bon il est clair que la définition de l’amour diffère beaucoup, surtout si vous êtes un homme ou une femme il me semble ! ;-)
Nous sommes tous à un moment ou un autre à la recherche de cet être si particulier avec lequel on pourra construire notre vie, celui sur qui on pourra compter, celui qui nous rendra heureuse ! Du moins, c’est ce que l’on espère !
J'ai toujours pensé que l' amour c’était ce sentiment fort qui pousse quelqu'un a vouloir vivre le plus longtemps possible aux cotés de la personne aimée jusque la tout va bien. Mais dans notre société, amour rime souvent avec exclusivité c'est-a-dire être fidèle. J'ai dit SOUVENT hein pas toujours parce que vous la on vous connait!
Le mariage est ce une preuve d'amour ou la volonté de s'approprier l'autre de manière "officielle"?
Alors aujourd'hui je suis un peu perplexe je pense que vouloir avoir l’exclusivité c'est pas de l'amour c'est de l’égoïsme et c'est aussi une volonté d empêcher l'autre de s’épanouir.
L'amour ! Il n'y a rien de plus fragile ni de plus éphémère. L'amour c'est comme un feu un jour de pluie : tu dois tout le temps le protéger, l'alimenter et en prendre soin, sinon il s'éteint. Et si nous l'alimentions par la parole car sans elle le plaisir de l’amour diminue !
Aimer c'est ce sentiment particulier qui fait mal tout en faisant du bien.
L'amour c'est donner et recevoir sans compter. C'est être heureux de rendre heureux, être malheureux de rendre malheureux. Mais pour moi il n'est pas forcement synonyme de bonheur.
Aimer aide à connaître, connaître aide à comprendre, comprendre aide à aimer.....
Aimer pour moi c'est avant tout accepter l'autre tel qu'il est, ne pas faire souffrir l'autre et vouloir son bien. Ce qui ne veut pas dire que l'on doit accepter tout et n importe quoi sinon savoir faire le tri entre ce qui est susceptible de nuire a notre bonheur et ce qui n'a rien a voir avec cela et qui relève simplement d un sentiment d égoïsme.
Aimer peu parfois rendre fou, stupide, naïf, désarmé, perdu. Aimer c'est aussi souffrir, parce que l'autre est absent, parce que l'autre ne nous aime pas, ou parce que l'autre ne nous aime plus. Peut-on parler d'amour quand celui-ci n'est pas réciproque, peut-on aimer tout seul, pourquoi continue-t-on d'aimer quand on sait que c'est inutile,que ça ne mène à rien et que ça ne nous rend tout simplement malheureux ? Quand quelque chose nous fais mal une fois en général, on ne recommence pas, alors pourquoi seul l'amour n'obéit pas à cette règle ?
Bref c un peu plus complexe et plus développé dans mon esprit mais fallait aller a l'essentiel.

alors c'est koi l'amour pour vous?